Un lien indissociable unit le papillon monarque avec l’asclépiade, aussi appelée Soyer du Québec. C’est la seule plante dont la chenille du monarque peut se nourrir. Or, ce magnifique et unique papillon migrateur, pouvant parcourir 5 000 km une seule fois dans sa vie, est menacé en partie à cause de l’élimination de cette plante, jusqu’à tout récemment considérée comme une mauvaise herbe. Lire la suite






